Le joueur ivoirien se confie sans filtre et fait des révélations qui secouent le football africain.
L’international ivoirien Wilfried Zaha a surpris tout le monde ce week-end en accordant une interview explosive, où il revient sans détour sur son parcours, ses choix, et les coulisses peu reluisantes du football africain. Longtemps resté discret sur certains sujets sensibles, Zaha a choisi de briser le silence — et ses propos ne passent pas inaperçus.
“On ne nous dit pas tout…”
Dans cet entretien exclusif diffusé sur une chaîne panafricaine, Zaha revient notamment sur son choix de représenter la Côte d’Ivoire plutôt que l’Angleterre, malgré ses débuts avec les Three Lions. « C’était une décision de cœur. Mais la vérité, c’est qu’en Afrique, il y a des choses que le public ignore totalement », lance-t-il.
Le joueur formé à Crystal Palace dénonce ensuite des problèmes de gestion, de favoritisme et de manque de professionnalisme dans certaines sélections nationales africaines : « Quand tu arrives en sélection, tu veux donner le meilleur. Mais parfois, l’organisation autour de toi ne suit pas. Tu te demandes même si on veut vraiment gagner. »
Une mise en cause des instances ?
Même s’il reste diplomate dans ses propos, Zaha pointe indirectement du doigt les instances sportives, sans les nommer. Il évoque notamment « des choix de joueurs dictés par des pressions extérieures », ou encore « des primes non versées à temps ».
Des déclarations qui viennent relancer le débat sur la gouvernance du football africain, à quelques mois de la prochaine Coupe d’Afrique des Nations. Nombreux sont les fans qui saluent le courage de Zaha d’avoir parlé ouvertement, là où d’autres préfèrent garder le silence.
Un appel au changement
L’objectif de Zaha, selon lui, n’est pas de critiquer gratuitement, mais de faire évoluer les choses pour les générations futures. « L’Afrique a du talent. Beaucoup de talent. Mais il faut des structures solides, de la transparence et du respect pour que ces talents puissent briller au plus haut niveau. »
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Conclusion
En osant dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas, Wilfried Zaha lance un signal fort. Ses révélations pourraient bien ouvrir la voie à un débat de fond sur l’avenir du football africain. Une chose est sûre : sa voix porte, et elle pourrait en inspirer d’autres à parler.